« Au secours, mon commissaire aux comptes… n’est pas commissaire aux comptes ! »
Quand une société croit se doter d’un garant de la régularité financière pour découvrir, quelques mois plus tard, qu’elle a fait appel à un « faux » commissaire aux comptes (CAC), le désarroi est total. Au‑delà de la farce, les conséquences peuvent s’avérer dramatiques : nullité des audits, distribution de dividendes fictifs, sanctions pénales pour les dirigeants, voire faillite. Revenons sur ce qui s’est joué dans ce procès‑verbal d’erreur, et sur la véritable mission et la qualification requise pour exercer ce métier si particulier.
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